Rencontre avec quatre personnes venues tendre le bras, lors de la dernière collecte de sang organisée au centre culturel Albert-Poncet à Domérat. |
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SOLIDARITÉ. Mohamed et Camille viennent de donner leur sang et repartent bras dessus-dessous.
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Avec sa filleQuant à Jean-Paul dont l’appétit fait plaisir à voir il « donne son sang quand il peut ». La faute à son taux d’hémoglobine qui de temps en temps est incompatible pour tendre le bras.Sans cet inconvénient qu’il surveille régulièrement depuis son premier don, à l’âge de 18 ans, « je serais à plus de deux cents dons si j’avais pu » indique-t-il devant sa fille Julie qui, sensibilisée au lycée, vient de remplir une pochette de sangs. |
A la table où les uns partent avec l’estomac rempli et les autres en manque de globules rouges après le don s’installent, Mohamed, étudiant à l’école d’ingénieurs Polytech à Clermont-Ferrand en cinquième année (en alternance dans une entreprise de Saint Victor) et Camille en deuxième année à l’Institut de formation en soins infirmiers (IFSI de Montluçon. Il ont de nouveau décidé de donner leur sang. « Un devoir » autant pour l’un que pour l’autre, qui repartent main dans la main. |
Plus loin, au détour des donneurs allongés avec une aiguille au creux du coude, infirmières et infirmiers, s’affairent « à faire les poches », relève une infirmière avec un humour non moins rouge sang. Hilarité assurée ! |
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